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PEUT-ON OUBLIER AVEC LA KINÉSIOLOGIE CES PHRASES QUI NOUS GÂCHENT LA VIE - AIX EN PROVENCE?
PEUT-ON OUBLIER AVEC LA KINÉSIOLOGIE CES PHRASES QUI NOUS GÂCHENT LA VIE - AIX EN PROVENCE?
Comment avec la kinésiologie, identifier nos vrais besoins et ne pas se laisser dicter nos comportements par nos voix intérieures à Aix en Provence.
De petites phrases apparemment anodines ont balisé la chemin de notre enfance : Dépêche toi, tu peux mieux faire, on ne sait jamais ça peut servir, pense aux autres, ne pleure pas, sois fort/e, c'est ma faute etc.
Injonctions à se dépasser, leçons de morale, conseils de prudence,... Ces phrases censées nous encourager à progresser, ont parfois au contraire développé, culpabilité, angoisse, anxiété, mal-être, charge émotionnelle, stress chronique, et s'impriment dans notre inconscient et freinent notre épanouissement. L'estime de soi diminue, ainsi que la confiance en soi.
Comment se libérer de ces poids, pour avoir un meilleur ressenti, retrouver la sérénité pour aller vers un mieux-être? Comment gérer ce stress?
Prenons l'injonction "Dépêche-toi". C'est la phrase qui nous pousse à agir à la hâte, comme si l'empressement nous rendait important. Ce fonctionnement, valorisé par le monde professionnel est d'abord institué par l'éducation. On vit sur un rythme effréné, notre respiration se bloque.
Jusqu'à ce qu'un disfonctionnement physique sonne le rappel à soi. Sentiment d'oppression, douleurs abdominales ou dorsales, actes manqués, oublis de plus en plus fréquents.
"Pense aux autres", dès le plus jeune âge on apprend à être obéissant à cette injonction. Si bien que pour obtenir de l'amour, nous nous efforçons d'être "gentil/e" avec les autres, de "faire plaisir". Les choses se gâtent lorsque notre besoin d'être aimé est si intense, qu'il nous pousse à répondre à des demandes abusives, à donner plus que l'on ne reçoit. À force d'être gentil/e, on risque de laisser les autres négliger nos besoins, nous manquer de respect. Vous vous sentez proche du burn-out.
Il est temps de restaurer l'image de soi; de guérir, de gai-rire, de dire "non" aux demandes qui nous paraissent injustes sans obligatoirement perdre l'amour que l'on nous porte.
Cela n'a rien à voir avec le quotient intellectuel. Et si vous demander de l'aide à un/e thérapeute pour vous aider à lâcher-prise et apprendre à gérer le stress?
Vous pouvez me téléphoner directement au 06 18 92 40 39 ou bien utiliser la fiche CONTACT.
De petites phrases apparemment anodines ont balisé la chemin de notre enfance : Dépêche toi, tu peux mieux faire, on ne sait jamais ça peut servir, pense aux autres, ne pleure pas, sois fort/e, c'est ma faute etc.
Injonctions à se dépasser, leçons de morale, conseils de prudence,... Ces phrases censées nous encourager à progresser, ont parfois au contraire développé, culpabilité, angoisse, anxiété, mal-être, charge émotionnelle, stress chronique, et s'impriment dans notre inconscient et freinent notre épanouissement. L'estime de soi diminue, ainsi que la confiance en soi.
Comment se libérer de ces poids, pour avoir un meilleur ressenti, retrouver la sérénité pour aller vers un mieux-être? Comment gérer ce stress?
Prenons l'injonction "Dépêche-toi". C'est la phrase qui nous pousse à agir à la hâte, comme si l'empressement nous rendait important. Ce fonctionnement, valorisé par le monde professionnel est d'abord institué par l'éducation. On vit sur un rythme effréné, notre respiration se bloque.
Jusqu'à ce qu'un disfonctionnement physique sonne le rappel à soi. Sentiment d'oppression, douleurs abdominales ou dorsales, actes manqués, oublis de plus en plus fréquents.
"Pense aux autres", dès le plus jeune âge on apprend à être obéissant à cette injonction. Si bien que pour obtenir de l'amour, nous nous efforçons d'être "gentil/e" avec les autres, de "faire plaisir". Les choses se gâtent lorsque notre besoin d'être aimé est si intense, qu'il nous pousse à répondre à des demandes abusives, à donner plus que l'on ne reçoit. À force d'être gentil/e, on risque de laisser les autres négliger nos besoins, nous manquer de respect. Vous vous sentez proche du burn-out.
Il est temps de restaurer l'image de soi; de guérir, de gai-rire, de dire "non" aux demandes qui nous paraissent injustes sans obligatoirement perdre l'amour que l'on nous porte.
Cela n'a rien à voir avec le quotient intellectuel. Et si vous demander de l'aide à un/e thérapeute pour vous aider à lâcher-prise et apprendre à gérer le stress?
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